Les lavoirs
Vauréal dispose de quatre lavoirs construits dans les années 1820-1830 : celui des Dames Gilles, celui des Carneaux, celui de la rue de Puiseux et celui du Vivier, également connu sous le nom de grand lavoir. Ces installations étaient destinées à être utilisées par les femmes de la commune ainsi que par celles des communes environnantes.
Le lavoir des Dames Gilles
Il tirerait son nom des soeurs du savant Pierre Gilles, né en 1489, qui fut envoyé en Asie Mineure en mission. Lors de son retour en France, il aurait été hébergé par le baron d’Aramont, ambassadeur de François Ier à Constantinople, qui lui aurait offert une propriété à Vauréal pour loger ses soeurs.
Le lavoir du Vivier :
Il servait initialement d’abreuvoir pour le château et se trouve sur la route de Cergy, à proximité des deux communes. En 1837, un arrêté municipal a instauré une taxe payable au garde-champêtre par toute personne souhaitant utiliser le lavoir. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, Mme Heintz, compagne de Henri Menier, a fait couvrir ce lavoir. Actuellement, il n’est plus accessible et est asséché.
